Tuesday, September 12, 2006

N'être ni le maître, ni le valet, mais chacun un partenaire valable d'une situation et donc être avec l'autre d'égal à égal

Comme on est tous et donc chacun pas parfait capables de très bonnes choses mais aussi des pires, on n'a pas à se mettre à genoux devant quelqu'un qui nous donne des ordres et réciproquement, mais plutôt à lui faire comprendre que l'on fait partie de la même situation que l'on est ensemble "dans le même bateau" et que l'on est chacun un être humain non parfait donc en quelque sorte à égalité l'un de l'autre !

Tant de possibilités positives ne posant pas de problèmes
Nous sont proposées
Dans celles-ci, contrairement à ce que souvent l’on pense,
Et, ce qui peut aussi paraître étonnant,
Dans ces éventualités : le chemin n’est pas pour autant banal,
N’est pas toujours le même :
Il évolue, se modifie, et n’est donc pas que triste, ennuyeux,
Il est au contraire très intéressant, supra intéressant…
Passionnant !!!
Car il demande que l’on soit attentif à ses mouvements
Même les moindres, les plus petits soient-ils…
Et à ce que l’on soit prêt à agir momentanément, très fortement,
Si le besoin s’en fait sentir…
Le chemin y est donc balisé,
On sait où l’on va,
Car il est limité, délimité !
Par des « Attention ! », donc par des attentions
Que l’on se donne à soi-même
Pour ne pas tomber dans de trop grands extrêmes
Très dangereux
Qui nous entraîneraient,
Si on se laissait les suivre,
Vers d’autres chemins apparemment faciles…
Mais en réalité, vicieux…
Où les volontés sont trafiquées par l’argent, par la volonté de pouvoir, de domination, de strass, de paillettes, …donc de rêve,
Où l’on entre en plein dans l’irréalité consentie,
Car, à première vue, on peut croire qu’ils sont, tout autant que les premiers,
Ouverts, clairs, libres, pavés de bonnes intentions…
Mais, on se rend vite compte
Si par malheur on les suit
Que ce qui nous est si gentiment, trop gentiment,
Beaucoup trop gentiment… « proposé »
En nous forçant un peu ou beaucoup la main
Mais pas franchement,
Insidieusement,
De manière la plus cachée possible,
Et, si on le laisse faire, donc si on se laisse faire (sans réagir immédiatement),
Peu à peu,
Nous entraîne vers le fond,
Vers la chute,
Et une chute qui peut être gravissime,
Voire mortelle…
Si on ne se reprend pas rapidement en main,
Revenant sur le bon chemin
Un des vrais bons chemins
Où l’on est en sécurité
Pas pour toujours,
Provisoirement,
Mais tout de même… pour un temps,
Où l’on peut souffler vraiment,
Tout en restant cependant
Vigilant (dans l’attention de ce qui se passe autour de soi !)
Car, si on n’est pas vigilant,
On peut facilement retomber
Dans des travers
Pervers
C’est si agréable de totalement se laisser faire…
De ne pas du tout se retenir
De se laisser complètement partir….
Mais cela nous procure des joies si courtes,
Très très très très éphémères,
Et nous les fait regretter de manière très amère
Souvent au centuple
Longtemps, très longtemps,
Voire peut-être toujours !!!
Des joies factices
Pour, ce qui est souvent perçu comme le plus déconcertant,
Un plaisir… pas du tout gratifiant !!!!
Alors, faites à vous très attention
A ce que la situation ne devienne pas glissante, puis incontrôlable !
A en rester un partenaire honnête et donc valable !
Bon courage !!!!!
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Je ne suis pas inférieur
A celui ou à celle ou à ceux
Qui me paie(nt) pour effectuer des tâches
Je ne suis pas inférieur
A eelui, à celle, à ceux
Qui me commande(nt)
Pourquoi ?
Car nous sommes, lui et moi, elle et moi, eux et moi,
Des êtres humains faillibles
Donc, de la même espèce : l’espèce humaine,
Et, chacun,
Imparfait,
Pouvant se tromper…
Donc, je dois certes le respect… à celui, à celle ou à ceux
Qui m’emploie(nt)
Essayant de mon mieux d’agir pour leur intérêt
Mais sans aller au-delà :
De mes forces, de mes capacités, de ma volonté,
Car je me respecte aussi,
Et si je vais au-delà :
De mes forces, de mes capacités, de ma volonté, etc…
Je peux perdre à mes yeux, pour un temps souvent hélas très très long…
Ma dignité,
Et si je ne redresse pas le tir rapidement,
Je risquerais de me perdre vis-à-vis de moi-même
Et de mettre des années
Avant d’oser comprendre que je dois avant tout
A moi,
Me pardonner,
De moi à moi,
Et, encore du temps,
Avant que j’ose à nouveau, me regarder dans la glace
Bien en face !

De plus, celui ou celle ou ceux
Qui me paie à la fin du mois et/ou du travail
Me doivent aussi le respect
Lui, elle ou eux,
A(Ont) besoin de moi
Puisqu’ils me l’ont confiée,
Pour accomplir une tâche,
Pour mener à bien quelque chose qu’il m’a(qu’ils m’ont) confiée
Je suis tout autant que lui, qu’elle, qu’eux, un être humain faillible
Et donc lui, elle ou eux,
Peut (peuvent) aussi se tromper
M’avoir demandé quelque chose à faire d’irréalisable
Dans les conditions actuelles, du moment,
Et me demander à moi… Pardon !
Car le respect va dans les deux sens
Pas que dans un seul
De mois vers celui, celle ou ceux
Qui m’emploie(nt)…
Non !!!
L’argent, ça va, ça vient,
Mais la dignité, c’est tellement plus précieux
Aussi, si je sens qu’ils veulent me demander
Quelque chose de démesuré, de trop, de pas assez…
Pour ensuite me reprocher
De ne pas y arriver
Alors qu’ils m’ont proposé quelque chose d’irréalisable correctement
Dans des conditions qui seraient satisfaisantes,
Je leur dis clairement : NON !
Je préfère vous rendre un peu d’argent
Pour ne pas avoir effectué votre sale travail,
Souvent, en outre,
Pour compléter le tableau,
Mal payé,
Mais garder pour moi,
Ce qui vaut plus que tout,
Ma dignité !
Et sur mon visage retrouver
Du fait du courage de mon opposition à mon patron
Et de la fierté d’avoir bien défendu
Mes intérêts :
Plus que financiers,
Vitaux !!!!
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Entrer dans la sérénité
Après avoir surmonté ses problèmes existentiels
S’être avec soi, réconcilié
Ce qui peut prendre énormément d’énergie, de temps, etc …
Arriver, en fait, à accepter que l’on soit Soi !,
Qui on est
Foncièrement,
Et entièrement,
Avec ses défauts, et ses qualités,
Puis
Trouver où on est vraiment bien
Aussi, ce qui nous rend heureux, serein,
Et si possible sa manière correcte d’aller jusqu’à ce résultat
Sans marcher sur qui et/ou sur quoi que ce soit
Ne négligeant aucune étape
Et donc à chaque moment
Fier de ce que l’on a déjà accompli
Etre vis-à-vis de soi
Dans de bonnes dispositions
Prêt à tout au meilleur et au pire
Pouvant se dire :
Merci !
Je souris à la vie, à ma vie !
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Tous ceux qui ne travaillent pas,
Très jeunes : enfants, bambins, jeunes adultes, personnes cinquantenaires, et personnes âgées,
Ou plutôt qui ne sont pas rémunérés
Par l’Etat dont ils font tout de même partie intégrante
Pour ce qu’ils ont cependant la tâche
Chaque jour
D’accomplir
Contre vents et marées
Et le courage, à bien, de mener,
Ne sont pas des personnes à moitié….
De l’intérieur d’elles, elles savent leur vraie valeur
Leur importance…
Elles ne sont pas du tout des bouches inutiles à nourrir,
Et, si on leur donne sa confiance,
Qu’on leur accorde juste gratuitement, d’emblée,
Leur chance,
Elles la prennent et la transforment,
Réussissant grâce à une envie de vie très forte,
Leurs choix, à traduire en actes,
Et à mener de très grandes choses à bien…
De cette manière,
Elles auront conquis leur bien-être
L’auront grandement mérité,
Ne rougissant pas,
Même du fait de regards de personnes jalouses courroucées,
Et même,
Auront profité pour, de l’expérience, engranger
Etant utile pour tout autre action tout aussi périlleuse…
Dont pourront user
Tous ceux que cela aura émus et décidés !
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Gardez votre naturel en toutes circonstances
Si vous y parvenez… super, bravo !
N’essayez pas, sauf si vous le voulez vraiment, aux autres de ressembler
On a une immense chance
D’être soi
De ne pas être un autre
D’avoir donc une personnalité
Une vie à pleinement habiter
Certes on peut des autres adopter de saines attitudes
Mais il n’est nul besoin
D’attraper de mauvaises habitudes
Qui nous entraîneraient
Au-delà de raisonnables limites
Jusqu’à des travers
Très ardus à laisser tomber, à décrocher…
Etre soi
Est certes un tracas
Car on n’est pas toujours facile, gracile,
Ni bien accepté dans une société
Où l’on doit faire comme son voisin,
Pour être regardé à peu près bien,
Même si il n’agit pas du tout bien …
Mais être soi sans tricher
Sans aux autres abdiquer,
Sans leur laisser notre place, c’est aussi du bonheur
Qui donne beaucoup de joies dans notre cœur !
C’est un défi
Le défi de notre Vie

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Du fait que nous sommes chacun capables de vivre chaque sentiment existant
On peut vivre les mêmes situations qu'autrui,
Les mêmes sentiments que l'autre,
J'ai de toi en moi
Tu as de moi en toi
On se ressemble
Tout en ne se ressemblant pas
Quelle chance !!!!
Quel étonnement !!!
Ainsi, nous pouvons nous rencontrer
Ne pas rester seul, chacun de son côté,
Apprendre quels que soient nos âges
Des choses différentes l'un de l'autre
Et s'apporter beaucoup...
Et même et surtout...
Se comprendre !!!!
Qu'en pensez-vous ?
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On a chacun besoin d’exprimer
Ses plus intimes pensées
De les faire sortir de soi
Pour mieux se retrouver
Et se sentir, être à nouveau en paix,
Etre dans un plus profond bien-être !
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Voir l’un de ses problèmes
Comme quelque chose d’énorme
Et se dire que tous les autres
Le voient aussi gros, voire même plus gros encore, qu’on le voit soi
S’empêchant de vivre à sa façon :
Du fait de croire que tous les regards sont, sur soi, braqués
Comme des armes prêtes à tirer
Est une erreur
Ce qui a pour effet
Que, au bout d’un temps,
Si on n’a pas, auparavant, arrêté ce processus de destruction de soi
Les autres finissent par voir ce problème,
Et même par ne plus voir que lui
Jusqu’à même oublier
Qu’une personne, moi, vit avec ce problème
Et à ne plus voir que le problème
Niant la personne qui le vit (ce problème)…
Ca peut soit anéantir la personne qui s’en rend compte
Soi lui faire un électrochoc
Qu’elle se dise : « Les autres parlent de moi comme si je n’étais pas là
Je ne suis pas mort(e)
Je suis là
J’existe là !
C’est de Mon problème que les autres parlent sans me consulter
Et à la troisième personne
Comme si elles pouvaient prendre toutes les décisions à ma place
Non,
J’ai le droit à ma place
Ca me concerne ce problème
J’ai le droit de savoir
Je m’offre la possibilité de m’en sortir
De continuer et en même temps de recommencer consciemment
A vivre
Comme je le veux !
Librement !!!!
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J'ai la tête en l'air,
La tête à l'envers
Quand certains autres regardent devant
Je vais voir ce qu'il y a derrière
En scrutant ce qui se cache et se dérobe à la vue,
Pénètre dans les choses, en leur cœur, et dévoile leur mystère,
C'est ce qui donne à la vie son cachet, son piment,
Elle est multiformes, surprises, étonnements,
Je la trouve positivement... extraordinaire !

Quand on croit la tenir, ou même la retenir,
Elle s'écarte et rebondit comme une biche gracieusement
Reprend son élan, sa liberté, et vous laisse en place
Jusqu'au prochain moment
Où vous la retrouverez
Pour un nouveau face à face passionnant
Question de patience et donc de temps
N'est-ce pas étonnant vraiment ?
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Qu'en pensez-vous
Amitiés
Myrabelle