Wednesday, July 27, 2005

Précision de la vérité d'une situation

Ce qui tourne autour d'un sujet peut aider à l'aide d'exemples, à essayer d'expliciter, d'expliquer la vérité... d'une situation, si on est sincère, même si on n'arrive pas très bien à tout dire, on pourra être compris...

La vérité est très précise et n'est donc pas du tout dans l'a peu près... donc vouloir que chaque détail soit expliqué n'est pas trop en faire, c'est juste réclamer de la justice, un respect de la personne humaine, certes faillible, mais aussi capable de justesse...

Qu'en pensez-vous ?

8 Comments:

Anonymous Anonymous said...

La vérité n'est-elle pas dépendante du point de vue et de l'angle de vue ?

28/7/05  
Blogger myrabelle said...

Tout d'abord merci beaucoup pour tes commentaires...

Oui et non, oui car c'est vrai chacun peut en avoir une idée... mais quand une personne la touche et finit par la voir dans sa totalité : et qu'elle nous met les larmes aux yeux, qu'elle nous serre la gorge... et que l'on se dit "Oui, c'est ça"... on l'a connaît enfin ! et on peut s'en servir pour savoir où l'on va et ne plus être perdu entre hier, aujourd'hui, et demain, mais pouvoir avoir une base solide pour croire en soi et avancer, jour après jour...
Savoir que l'on est prêt à l'accepter, cette vérité, à la voir en face... c'est vrai que ce n'est pas facile... mais on est tellement plus heureux après...

On peut dans le temps la remettre en cause, car des détails ou presque tout ont changé et qu'il faut se remettre en question, pour à nouveau, donc une nouvelle vérité : la percevoir pleinement...

Enfant, adolescent, ou adulte, tu as peur de quelque chose
Et n'as osé le dire à ceux que tu aimes,
Peut-être qu'un jour tu auras le courage
D'affronter ce tout petit naufrage
De dire la vérité : ce qui apporte la paix.
Ose, avoue à qui tu veux, et tu seras plus heureux
Tu n'as à craindre qu'un refus douloureux.
Bien ! Mais tu sauras où tu en es,
Et ne seras plus morose.
Cela en vaut bien la peine, quand même ?
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Dire la vérité est un acte d'amour
Qui permet de se réveiller chaque jour
En n'ayant plus peur du regard des autres gens,...
Car, en soi, on porte la paix intérieure,
Celle que l'on a acquise en travaillant sur soi,
A se poser des questions cruciales,
Qui, si on ne les avale,
Nous avaleront elles, sans ménagement.
Alors, que voulez-vous : le beurre et l'argent du beurre
Ou se dire que l'argent ne fait pas le bonheur
Et que ce que l'on veut : c'est le meilleur
Qui ne s'acquiert qu'avec son cœur ?
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Apprenez, Mesdames, Messieurs, les Parents,
Que nous tous, les petits et les grands enfants,
Avons, autant que vous, le droit à la parole,
A dire ce que l'on ressent,
Du fond de notre cœur et de notre vie naissants.
Nos sentiments sont tout comme les vôtres très puissants,
Nous conduisant vers des excès...
Mais, en prenant du recul et en agissant,
On fait des progrès gigantesques, éblouissants !
Demandez-nous donc notre avis,
Il s'agit (aussi) de notre vie.
Ne pensez pas non plus, que pour nous la vie n'est que frivole,
Et dites-nous toujours la vérité,
Elle est une preuve de la confiance qu'en nous vous avez
De bien la supporter !
Elle est plus facile à avaler
Que les mensonges, les non-dit !
Sinon, pour nous, la vie s'envole,
Perd son intérêt, devient moins passionnante, moins drôle...
Peut-être jusqu'à se mettre volontairement une camisole !
C'est comme un viol
De notre personnalité,
Que l'on a voulu nier.
Et si personne ne réagit,
Nous laissant dans les mensonges, les non-dit,
Notre volonté s'éteint,
Notre regard à son tour s'éteint,
Et la vie et la mort pour nous ne font plus qu'un.
Alors, dites-nous la pure vérité,
Laissez votre cœur éclater,
De joie, d'amour,... jusqu'à l'infini,
D'avance, merci !!!
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Si les parents ne disent pas à leur bambin, dès qu’ils la connaissent, la vérité,
Ils le plongent dans un trou noir espoir
Avec très peu de possibilités d’aller vers un avenir moins sombre, moins noir,…
Comment peut-il se douter de ce qu’on veut à tout prix lui cacher ?
Il se sent juste le porteur du poids du passé
Et devra le supporter,
Sans y avoir participé :
Porter la douleur des autres, au bout de ses tout petits bras,
En se demandant pourquoi, ce qu’il a fait pour qu’on le traite comme ça !
Hélas, il n’a rien fait de mal,
Pauvre petit être qui est juste normal ! ! !
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Protéger son enfant :
C’est lui dire la vérité,
Ne rien lui cacher !
Afin qu’il soit armé,
Paré à lutter
Contre ses propres tourments,
Et ceux des autres gens
Qui n’hésitent pas à lui mentir,
A détourner sa volonté,
Pour tourner la situation à (ce qu’ils croient être) leur avantage,
Et peut-être capter sa vie, son héritage ?
Pour éviter ce naufrage, et d’autres, voire, les pires,
Faites-lui confiance
Mettez-le dans la confidence…
Montrez-lui combien vous l’aimez,
A quel point vous l’estimez !
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Planifier,
C’est prévoir au maximum à l’avance les événements
Afin de s’y préparer,
Savoir comment organiser :
Son temps, les choses à faire, et surtout ses pensées…

C’est prendre le temps de dévoiler la vérité
D’aller au fond des choses…
Pas au dernier moment :
Quand les faits ne peuvent plus qu’arriver,…

C’est expliquer…
Bien sûr, prévenir ses proches : petits et grands
Dès qu’on le sait, du déroulement,
Afin de les sécuriser,
D’apprivoiser la temporalité,
Les rendre, le plus possible, maîtres de leur destin,
D’être heureux car sereins !
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Quand on attend un résultat
On ne vit plus, on ne vit pas :
On n’est plus qu’un point d’interrogation
Suivi de points de suspension
Qui aboutiront… à un point d’exclamation :
A la paix ou au trépas,
Qui, avec des explications
Complètes,
Concrètes,
Etoffées,
Deux points ouvrez les guillemets,
Faciliteront l’acceptation…
De la vérité !
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Certains pensent que des personnes qui leur cachent la vérité
Le font sans doute pour de bonnes raisons :
C’est vrai, pourquoi juste quelques mots qui leur sont tus
Leur font tant de mal ?
Pourquoi, sans explication des actes des autres,
On se sent ligoté, sans pouvoir bouger,
Emmuré vivant ?
Il est souvent plus facile de se satisfaire du mensonge,
On est bien comme ça,
Dans le mensonge, on est en plein songe
Loin de la réalité, et surtout de la vérité…
La vérité qui risque certes de faire mal : quand on la saura, sur le moment,
Mais, qui apportera enfin la paix, la sérénité,…

Aussi, si vous sentez que l’on vous dérobe quelque chose
De votre histoire, de votre identité,
Ou si vous-mêmes connaissez l’existence d’un secret
Demandez, essayez de savoir ce qui s’est vraiment passé…
Si vous connaissez la vérité,
Dites-la sans attendre, immédiatement !
Pour permettre enfin aux autres d’être libérés :
On est tous à même de l’entendre et de l’accepter
Quelque âge que l’on ait,
Même un enfant sorti ou non du ventre de sa maman
Peut ressentir un faux-semblant
Et avoir besoin de vérité pour mettre un baume réparateur sur sa vie blessée
Et être rasséréné !
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« C’est ridicule ! »
Ce que tu me dis me paraît tellement loin de la réalité, tellement fou, ridicule !…
Que je dis que c’est faux !
Mais, si tu as raison,
D’une quelconque façon,
Maintenant, ou même dans X années,
Je recevrai ce que tu m’exprimes comme la vérité…
Et ne pourrai que l’accepter !
Car si je conteste la vérité
Et que je lutte contre elle
Pour ne pas avoir à l’appliquer
Parce qu’elle est trop dure, sur le moment, à avaler,
Je quitte le bon chemin pour l’ivraie,
Je perds la raison pour aller vers la déraison
Et je me perds : je ne sais plus où je vais,
Je pars à la dérive sans que rien ne la suive,
Je déménage, je divague,
Je suis dans les méandres d’une vague
Dont je ne connais qu’un funeste aboutissement.
Et, si je ne réagis pas assez rapidement,
Si je me complais dans cet état de faits
Ou que je ne mets pas toutes mes forces dans la bataille
Pour contrebalancer mes graves dilemmes,
Je risque de ne plus pouvoir rebrousser chemin…
Et si je n’y arrive pas seule, vais-je accepter de l’aide de l’autre ?
Soit, j’accepte la situation, et j’y fais face sans détour, ni contour,
Et j’en sortirai : grandie ou morte !
Soit je renonce,
Et de toutes façons, je suis déjà morte :
Même avant que de dépérir,
Puis de me décrépir
Puis, enfin, de mourir !
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Certains adultes refoulent
Leurs émotions d’antan,
Leurs sentiments d’enfant
Car ils veulent se persuader
Que c’est mieux comme ça :
Ni, ils acceptent ce qui s’est passé
Ni la façon dont les événements se sont déroulés
Mais ils ne veulent pas les remettre en cause, en question(s) :
Ce serait ébranler tout l’édifice,
Se promener au bord du précipice,
Car toutes les conséquences qui en ont découlé
Et surtout celles qui sont négatives et dégradantes
Qu’ils ont, du fait de leur culpabilité, accepté de supporter,
Auraient pu ne pas exister
Et leur vie en aurait été changée !
Chaque seconde en plus passée à refuser la vérité
Les éloigne un peu plus de la sérénité
Souhaitons-leur un jour d’avoir le courage d’affronter ce qui s’est passé
Pour que cela ne puisse plus se renouveler !
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28/7/05  
Blogger myrabelle said...

Je pense intimement, qu'à certains moments de notre vie, on peut vraiment la connaître, la vérité... et que si on accepte de la voir telle qu'elle est, sans lui mettre des voiles qui la cachent, on peut vraiment s'en servir pour avancer et aller plus loin... et être heureux ! Certes elle se modifie au fil du temps et des événements qui ont lieu, et donc il faut, peut-être rapidement, la remettre en questions, et donc se remettre en questions pour de nouveau être au diapason... mais c'est possible, si on en a la volonté ! Bon courage à tous, et à moi aussi car ce n'est pas plus facile pour moi que pour autrui !

29/7/05  
Anonymous Anonymous said...

mais on est tellement plus heureux après...

mmmmm...ça laisse à réfléchir...si l'on découvre la vérité trop tôt,sans être vraiment pret,et que ce n'est pas la vérité que l'on attendait...cela peut créer des complexes...
Pour ma part c'est ce qui m'est arrivé;à force de réflexion,j'ai découvert cette vérité sur moi même...mais evidemment,il était trop tôt (j'avais alors 14 ans).J'ai donc...recréer une autre vérité (sans toutefois qu'elle me soit dévoilée)...et j'évite de chercher trop maintenant...

Jonathan Landicheff...

31/7/05  
Anonymous Anonymous said...

La vérité...
Dans le cas d'un procé d'un meutrier, la verité et difficile à trouvé, mais aller dans ce sens d'idée peut nous amener à une vie meilleur...

4/8/05  
Blogger myrabelle said...

La vérité est essentielle pour savoir qui on est... et donc pour savoir ensuite ce que l'on aime profondément faire pour bien choisir une profession par exemple...
Recréer une vérité, c'est ne pas l'accepter telle qu'elle est, et donc tricher, se mentir à soi-même... je l'ai fait de nombreuses années, voilà pourquoi je peux en parler... si cela peut vous permettre de retourner à la vraie vérité ! soit ! A vous de voir... mais je vous conseille amicalement de ne pas trop aller dans cette direction, car on peut totalement s'y perdre et ne plus savoir du tout qui on est... ce qui est vraiment très très très dangereux...

C'est vrai que les romans policiers m'intéressent et donc la manière des policiers de mettre à jour la vérité de la situation m'interpelle et m'aident à me poser des questions...

5/8/05  
Anonymous Anonymous said...

Bonjour


Longtemps j’ai mené une double vie ! Je l'avoue mais lorsque l'on prend de la bouteille l'on peut mieux en parler. Oui et mon épouse (celle de l'époque car c'est pour l'actuelle que j'ai agi de cette façon,) ne le sut que lorsque je le lui annonçais. Sans vouloir chercher à incomber cette responsabilité, celle d’avoir tromper mon monde, il faut admettre que dans cette situation nous étions deux.
Il y a deux raisons que je qualifierais de principales :
La première c’est que vous êtes " malade " ou instable, pas mûr pour la vie que vous avez choisie de vivre.
Et l’autre, parce que vous ne supportez plus votre partenaire qui manifeste envers vous des animosités des attitudes qui vous déplaisent. Sans entrer dans un détail de diverses situations adjacentes et trop longues par leurs explications, vous entrez progressivement dans la double vie. Vous n’avez pas encore franchie le pas de la tromperie d’avec cette dernière mais la porte n’en est pas si loin.
Tout en restant fidèle vous entrez dans le monde de la malhonnêteté. Les promesses d’antan ne sont point tenues puisque vous délaissez votre conjoint.
Puis franchissant la fameuse porte citée en amont, vous trompez alors celle à qui ces fameuses promesses faites devant témoins lui avaient été adressées.
Vous entrez dans ce monde de la double vie. Il vous faut alors créer des vérités. Acteurs vous devenez car il faut que ce mensonge soit plus vrai que nature. (Le malade imaginaire en est une explication assez représentative pour l’algarade)
Mais lorsque cette vérité se disloque, il faut alors faire part de vos intentions à l’autre. Cela devient parfois insoutenable car le mal est fait. Le trompeur (se) et le (a) trompé (e) souffrent, (ceux qui ont un minimum de conscience, bien entendu) et comment rattraper " le coup ?"
Il est devenu indispensable de mettre les cartes sur tables et de trouver seuls ou accompagnés, une ou plusieurs solutions afin de penser les plaies de cette vie faites de tumultes !
On raccommode tant bien que mal au risque de voir au fil du temps les morceaux si difficilement recollés, (avec un temps si précieux…) s’enlever un à un pour, au bout du compte, s’effondrer une fois encore. Cela peut aussi tenir mais la colle se voit et les cicatrices de cette reconstruction seront toujours perceptibles. Impossible à cacher totalement.
Il est aussi envisageable avec une grande force intérieure de les occulter mais en toile de fond elles sont toujours présentes. (Une estampe japonaise vaut elle la peine d’être recollée ? la est la question…) Elle restera sans doute un moment en suspend et les champions de la dissertation vont s’en donner à chœur joie.
La seconde hypothèse et sans doute celle optée par nombre d’entre nous, celle de se séparer dans les meilleurs conditions réalisables laissant ainsi l’autre avec la possibilité de refaire sa vie. ( Là encore cette séparation ne se réalise que très rarement dans de bonnes conditions.)
On parle d’une situation bien précise à savoir la vie de couple or c’est la même chose dans le cas du banditismes, sous ses différents aspects. Vols, meurtre etc.
Si l’on est honnête envers soi, on l’est forcément envers les autres.
Ce qui me pose dilemme, mais n’est-ce pas le propos de la question, c’est de savoir si la vérité à plusieurs angles de vue ? Facettes certainement mais une seule vérité existe réellement ; simplement la Vérité.

Le Griffonneur

3/11/05  
Blogger myrabelle said...

Si j'écris sur ce thème de la vérité qui m'est si cher, c'est parce que je n'ai pas mené de double vie, mais par contre je me mentais à moi-même... et donc cela ressemblait à une double vie...


Cette franchise, votre franchise, est bénéfique, cela aide à être au clair avec soi-même et avec autrui... à pouvoir se regarder en face dans une glace et être fier de soi ! Bravo !!!

Amitiés
Myrabelle

6/11/05  

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