Myrabelle

Tuesday, September 12, 2006

N'être ni le maître, ni le valet, mais chacun un partenaire valable d'une situation et donc être avec l'autre d'égal à égal

Comme on est tous et donc chacun pas parfait capables de très bonnes choses mais aussi des pires, on n'a pas à se mettre à genoux devant quelqu'un qui nous donne des ordres et réciproquement, mais plutôt à lui faire comprendre que l'on fait partie de la même situation que l'on est ensemble "dans le même bateau" et que l'on est chacun un être humain non parfait donc en quelque sorte à égalité l'un de l'autre !

Tant de possibilités positives ne posant pas de problèmes
Nous sont proposées
Dans celles-ci, contrairement à ce que souvent l’on pense,
Et, ce qui peut aussi paraître étonnant,
Dans ces éventualités : le chemin n’est pas pour autant banal,
N’est pas toujours le même :
Il évolue, se modifie, et n’est donc pas que triste, ennuyeux,
Il est au contraire très intéressant, supra intéressant…
Passionnant !!!
Car il demande que l’on soit attentif à ses mouvements
Même les moindres, les plus petits soient-ils…
Et à ce que l’on soit prêt à agir momentanément, très fortement,
Si le besoin s’en fait sentir…
Le chemin y est donc balisé,
On sait où l’on va,
Car il est limité, délimité !
Par des « Attention ! », donc par des attentions
Que l’on se donne à soi-même
Pour ne pas tomber dans de trop grands extrêmes
Très dangereux
Qui nous entraîneraient,
Si on se laissait les suivre,
Vers d’autres chemins apparemment faciles…
Mais en réalité, vicieux…
Où les volontés sont trafiquées par l’argent, par la volonté de pouvoir, de domination, de strass, de paillettes, …donc de rêve,
Où l’on entre en plein dans l’irréalité consentie,
Car, à première vue, on peut croire qu’ils sont, tout autant que les premiers,
Ouverts, clairs, libres, pavés de bonnes intentions…
Mais, on se rend vite compte
Si par malheur on les suit
Que ce qui nous est si gentiment, trop gentiment,
Beaucoup trop gentiment… « proposé »
En nous forçant un peu ou beaucoup la main
Mais pas franchement,
Insidieusement,
De manière la plus cachée possible,
Et, si on le laisse faire, donc si on se laisse faire (sans réagir immédiatement),
Peu à peu,
Nous entraîne vers le fond,
Vers la chute,
Et une chute qui peut être gravissime,
Voire mortelle…
Si on ne se reprend pas rapidement en main,
Revenant sur le bon chemin
Un des vrais bons chemins
Où l’on est en sécurité
Pas pour toujours,
Provisoirement,
Mais tout de même… pour un temps,
Où l’on peut souffler vraiment,
Tout en restant cependant
Vigilant (dans l’attention de ce qui se passe autour de soi !)
Car, si on n’est pas vigilant,
On peut facilement retomber
Dans des travers
Pervers
C’est si agréable de totalement se laisser faire…
De ne pas du tout se retenir
De se laisser complètement partir….
Mais cela nous procure des joies si courtes,
Très très très très éphémères,
Et nous les fait regretter de manière très amère
Souvent au centuple
Longtemps, très longtemps,
Voire peut-être toujours !!!
Des joies factices
Pour, ce qui est souvent perçu comme le plus déconcertant,
Un plaisir… pas du tout gratifiant !!!!
Alors, faites à vous très attention
A ce que la situation ne devienne pas glissante, puis incontrôlable !
A en rester un partenaire honnête et donc valable !
Bon courage !!!!!
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Je ne suis pas inférieur
A celui ou à celle ou à ceux
Qui me paie(nt) pour effectuer des tâches
Je ne suis pas inférieur
A eelui, à celle, à ceux
Qui me commande(nt)
Pourquoi ?
Car nous sommes, lui et moi, elle et moi, eux et moi,
Des êtres humains faillibles
Donc, de la même espèce : l’espèce humaine,
Et, chacun,
Imparfait,
Pouvant se tromper…
Donc, je dois certes le respect… à celui, à celle ou à ceux
Qui m’emploie(nt)
Essayant de mon mieux d’agir pour leur intérêt
Mais sans aller au-delà :
De mes forces, de mes capacités, de ma volonté,
Car je me respecte aussi,
Et si je vais au-delà :
De mes forces, de mes capacités, de ma volonté, etc…
Je peux perdre à mes yeux, pour un temps souvent hélas très très long…
Ma dignité,
Et si je ne redresse pas le tir rapidement,
Je risquerais de me perdre vis-à-vis de moi-même
Et de mettre des années
Avant d’oser comprendre que je dois avant tout
A moi,
Me pardonner,
De moi à moi,
Et, encore du temps,
Avant que j’ose à nouveau, me regarder dans la glace
Bien en face !

De plus, celui ou celle ou ceux
Qui me paie à la fin du mois et/ou du travail
Me doivent aussi le respect
Lui, elle ou eux,
A(Ont) besoin de moi
Puisqu’ils me l’ont confiée,
Pour accomplir une tâche,
Pour mener à bien quelque chose qu’il m’a(qu’ils m’ont) confiée
Je suis tout autant que lui, qu’elle, qu’eux, un être humain faillible
Et donc lui, elle ou eux,
Peut (peuvent) aussi se tromper
M’avoir demandé quelque chose à faire d’irréalisable
Dans les conditions actuelles, du moment,
Et me demander à moi… Pardon !
Car le respect va dans les deux sens
Pas que dans un seul
De mois vers celui, celle ou ceux
Qui m’emploie(nt)…
Non !!!
L’argent, ça va, ça vient,
Mais la dignité, c’est tellement plus précieux
Aussi, si je sens qu’ils veulent me demander
Quelque chose de démesuré, de trop, de pas assez…
Pour ensuite me reprocher
De ne pas y arriver
Alors qu’ils m’ont proposé quelque chose d’irréalisable correctement
Dans des conditions qui seraient satisfaisantes,
Je leur dis clairement : NON !
Je préfère vous rendre un peu d’argent
Pour ne pas avoir effectué votre sale travail,
Souvent, en outre,
Pour compléter le tableau,
Mal payé,
Mais garder pour moi,
Ce qui vaut plus que tout,
Ma dignité !
Et sur mon visage retrouver
Du fait du courage de mon opposition à mon patron
Et de la fierté d’avoir bien défendu
Mes intérêts :
Plus que financiers,
Vitaux !!!!
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Entrer dans la sérénité
Après avoir surmonté ses problèmes existentiels
S’être avec soi, réconcilié
Ce qui peut prendre énormément d’énergie, de temps, etc …
Arriver, en fait, à accepter que l’on soit Soi !,
Qui on est
Foncièrement,
Et entièrement,
Avec ses défauts, et ses qualités,
Puis
Trouver où on est vraiment bien
Aussi, ce qui nous rend heureux, serein,
Et si possible sa manière correcte d’aller jusqu’à ce résultat
Sans marcher sur qui et/ou sur quoi que ce soit
Ne négligeant aucune étape
Et donc à chaque moment
Fier de ce que l’on a déjà accompli
Etre vis-à-vis de soi
Dans de bonnes dispositions
Prêt à tout au meilleur et au pire
Pouvant se dire :
Merci !
Je souris à la vie, à ma vie !
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Tous ceux qui ne travaillent pas,
Très jeunes : enfants, bambins, jeunes adultes, personnes cinquantenaires, et personnes âgées,
Ou plutôt qui ne sont pas rémunérés
Par l’Etat dont ils font tout de même partie intégrante
Pour ce qu’ils ont cependant la tâche
Chaque jour
D’accomplir
Contre vents et marées
Et le courage, à bien, de mener,
Ne sont pas des personnes à moitié….
De l’intérieur d’elles, elles savent leur vraie valeur
Leur importance…
Elles ne sont pas du tout des bouches inutiles à nourrir,
Et, si on leur donne sa confiance,
Qu’on leur accorde juste gratuitement, d’emblée,
Leur chance,
Elles la prennent et la transforment,
Réussissant grâce à une envie de vie très forte,
Leurs choix, à traduire en actes,
Et à mener de très grandes choses à bien…
De cette manière,
Elles auront conquis leur bien-être
L’auront grandement mérité,
Ne rougissant pas,
Même du fait de regards de personnes jalouses courroucées,
Et même,
Auront profité pour, de l’expérience, engranger
Etant utile pour tout autre action tout aussi périlleuse…
Dont pourront user
Tous ceux que cela aura émus et décidés !
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Gardez votre naturel en toutes circonstances
Si vous y parvenez… super, bravo !
N’essayez pas, sauf si vous le voulez vraiment, aux autres de ressembler
On a une immense chance
D’être soi
De ne pas être un autre
D’avoir donc une personnalité
Une vie à pleinement habiter
Certes on peut des autres adopter de saines attitudes
Mais il n’est nul besoin
D’attraper de mauvaises habitudes
Qui nous entraîneraient
Au-delà de raisonnables limites
Jusqu’à des travers
Très ardus à laisser tomber, à décrocher…
Etre soi
Est certes un tracas
Car on n’est pas toujours facile, gracile,
Ni bien accepté dans une société
Où l’on doit faire comme son voisin,
Pour être regardé à peu près bien,
Même si il n’agit pas du tout bien …
Mais être soi sans tricher
Sans aux autres abdiquer,
Sans leur laisser notre place, c’est aussi du bonheur
Qui donne beaucoup de joies dans notre cœur !
C’est un défi
Le défi de notre Vie

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Du fait que nous sommes chacun capables de vivre chaque sentiment existant
On peut vivre les mêmes situations qu'autrui,
Les mêmes sentiments que l'autre,
J'ai de toi en moi
Tu as de moi en toi
On se ressemble
Tout en ne se ressemblant pas
Quelle chance !!!!
Quel étonnement !!!
Ainsi, nous pouvons nous rencontrer
Ne pas rester seul, chacun de son côté,
Apprendre quels que soient nos âges
Des choses différentes l'un de l'autre
Et s'apporter beaucoup...
Et même et surtout...
Se comprendre !!!!
Qu'en pensez-vous ?
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On a chacun besoin d’exprimer
Ses plus intimes pensées
De les faire sortir de soi
Pour mieux se retrouver
Et se sentir, être à nouveau en paix,
Etre dans un plus profond bien-être !
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Voir l’un de ses problèmes
Comme quelque chose d’énorme
Et se dire que tous les autres
Le voient aussi gros, voire même plus gros encore, qu’on le voit soi
S’empêchant de vivre à sa façon :
Du fait de croire que tous les regards sont, sur soi, braqués
Comme des armes prêtes à tirer
Est une erreur
Ce qui a pour effet
Que, au bout d’un temps,
Si on n’a pas, auparavant, arrêté ce processus de destruction de soi
Les autres finissent par voir ce problème,
Et même par ne plus voir que lui
Jusqu’à même oublier
Qu’une personne, moi, vit avec ce problème
Et à ne plus voir que le problème
Niant la personne qui le vit (ce problème)…
Ca peut soit anéantir la personne qui s’en rend compte
Soi lui faire un électrochoc
Qu’elle se dise : « Les autres parlent de moi comme si je n’étais pas là
Je ne suis pas mort(e)
Je suis là
J’existe là !
C’est de Mon problème que les autres parlent sans me consulter
Et à la troisième personne
Comme si elles pouvaient prendre toutes les décisions à ma place
Non,
J’ai le droit à ma place
Ca me concerne ce problème
J’ai le droit de savoir
Je m’offre la possibilité de m’en sortir
De continuer et en même temps de recommencer consciemment
A vivre
Comme je le veux !
Librement !!!!
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J'ai la tête en l'air,
La tête à l'envers
Quand certains autres regardent devant
Je vais voir ce qu'il y a derrière
En scrutant ce qui se cache et se dérobe à la vue,
Pénètre dans les choses, en leur cœur, et dévoile leur mystère,
C'est ce qui donne à la vie son cachet, son piment,
Elle est multiformes, surprises, étonnements,
Je la trouve positivement... extraordinaire !

Quand on croit la tenir, ou même la retenir,
Elle s'écarte et rebondit comme une biche gracieusement
Reprend son élan, sa liberté, et vous laisse en place
Jusqu'au prochain moment
Où vous la retrouverez
Pour un nouveau face à face passionnant
Question de patience et donc de temps
N'est-ce pas étonnant vraiment ?
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Qu'en pensez-vous
Amitiés
Myrabelle

Thursday, March 23, 2006

La douceur demande une force énorme, elle est en vous comme en chacun d'entre nous, l'utilisez-vous ? si oui, comment ? si non, pourquoi ?

La douceur demande plus de force physique, mentale, sentimentale, émotionnelle, etc…
Que la violence
Qui est une utilisation très négative des capacités de la personne
Car pensée ou non elle aurait pu être évitée par :
De la réflexion, de l’attention, du courage,
Une dose possible d’utilisation adéquate des membres du corps, donc de savoir :
Arrêter la violence qui est en soi et qui couve et d’être capable de l’arrêter
Et cela demande donc beaucoup beaucoup d’efforts qui sont plus difficiles à faire que de ne plus réfléchir, de laisser complètement aller la situation, de la subir et de céder à ses pulsions.

C’est une force énorme, utilisable par tous, car chacun nous en possédons au fond, à l’intérieur de nous
Mais nous n’en avons pas toujours conscience
Et il arrive même qu’on la refuse
Alors qu’elle nous est nécessaire, vitale,
Car elle nous aide à nous tempérer :
A calmer notre caractère mouvementé, impétueux,
A stopper nos agissements néfastes car non réfléchis correctement :
Sans marcher sur qui que ce soit,
Respectueux de qui est soi, de qui est l’autre,
De nos différences qui sont des chances
Elle est au cœur de nos émotions
Et a le pouvoir immense de nous rassurer profondément sur :
Qui on est,
Ce qui est important vital pour soi, et sur ce qui ne l’est pas : ce qui est futile et, si on n’y prend pas assez d’attentions, nous faire aller dans des contrées dangereuses, difficultueuses
A tel point que : on prend confiance en soi, on est fier de soi, et surtout que l’on ose risquer de ne pas recevoir autant que ce que l’on donne,
Mais de le donner quand même
Des personnes ont une attitude négative et pensent à tort que : de risquer de donner ne devrait se faire qu’avec en retour, en compensation, des garanties,…
Alors que donner, c’est aller au-delà, sans exigence, juste en proposant, sans forcer l’autre à nous répondre,
Et cette force intérieure qui nous réchauffe le cœur
Nous donne le sourire
La force d’aller, de vivre sereinement son présent
Et d’aller vers l’à-venir sans heurts,
Sans trop de hauts-le-cœur
Jusqu’à notre bonheur !
Elle vaut le coup
Je suis de cette attitude une grande fan,
Et vous ?
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Du haut de ses 3 ans et 10 mois,
Manon a un cœur gros comme un univers d’amour
Elle est tendresse et douceur
Et sait prendre dans ses mains votre cœur
Vous rassurer profondément
Vous remettant au diapason : dans la confiance et la joie d’exister
Elle est certes fragile et a besoin de soins :
De caresses, de câlins, d’explications,
Mais elle est capable de donner vraiment :
D’oser, de risquer de ne pas recevoir la même chose que ce qu’elle propose
Mais le donner quand même, tendrement, de tout son cœur….
D’aller au-delà de ce risque, jusqu’au goût de la vie, jusqu’au bonheur d’exister
Et, de par sa gentillesse, ses attentions sincères
Donner aux autres le pouvoir d’eux, être fiers
Et de réfléchir autrement, différemment,
Afin de trouver en eux la force tranquille, la douceur,
Qui permet de canaliser ses forces pour en faire du calme intérieur

Sa beauté de cœur se reflète sur son visage
Et quand elle vous dévisage, elle vous renvoie de la lumière intérieure, du bonheur !
Merci ma fille, je suis heureuse et fière
D’être ta Maman
J’ai de la chance qu’il en soit ainsi
Mille fois merci !!!
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Tuesday, March 07, 2006

TRES GRANDE DIFFICULTE DE NOMBREUSES PERSONNES A EXPRIMER TOTALEMENT LEURS SENTIMENTS

TRES GRANDE DIFFICULTE DE BEAUCOUP DE PERSONNES A LAISSER EXPRIMER TOTALEMENT LES SENTIMENTS, LES EMOTIONS ET PAR CONSEQUENT AUSSI LES CAPACITESDES GARCONS DONC DES HOMMES(PAR UN MANQUE DE CONFIANCE ENORME EN EUX) LEUR HUMANITE
Il y a un très grand manque de savoir être, une très grande, très profonde difficulté dans la majorité des endroits de notre planète, et cela depuis des générations, à laisser exprimer l’humanité que les garçons, et par extension que les hommes, possèdent… mais que, ils ne peuvent et surtout ils ne doivent pas, laisser échapper : la moindre trace de sentiment, d’émotion(s), donc d’humanité, sous peine d’être considérés, ou plutôt étiquetés, catalogués,… par presque l’ensemble de la population ((hommes et femmes (et enfants) confondus, tellement cette idée négative est ancrée profondément en un grand nombre d’entre nous, ce qui est très dramatique)), comme des «lopettes », comme des sous-hommes, en somme !!!
Ces garçons sont donc très souvent élevés par des personnes (parents, proches,…) qui leur font croire, ce qui est faux, et qui ensuite leur laissent croire, ce qui est très grave, que les garçons et donc que les hommes doivent être durs, insensibles, ne pas ressentir de douleur, ni d’émotions, et donc ne leur manifestent pas trop d’attentions : en les privant un peu, ou beaucoup plus, que les filles, de câlins, en ne les félicitant pas beaucoup de ce qu’ils font (pour ne pas les encourager et encore moins pour les inciter à dire ce qu’ils ressentent), etc…
Alors que les hommes souffrent autant que les femmes... mais la grande différence c’est que, à force de pressions morales, familiales et extra-familiales, et même et surtout sociales, ils ne l’expriment pas… leur souffrance, et à fortiori leurs souffrances !!! et en ressentent une grande tristesse, et quelquefois une lassitude de leur vie, car se disent-ils, à quoi bon vivre dans ces conditions si on les empêche d’être totalement eux-mêmes ! (sans se dire que : leur vie leur appartient, et qu’ils sont capables de décider pour eux, et donc qu’ils peuvent dire aux autres «NON !»)
Or, les hommes avant d’être des hommes, sont d’abord des êtres humains !!!Et une des différences avec les animaux, est que les êtres humains et donc aussi les hommes sont capables de reconnaître en eux ce qui leur fait mal : la douleur, mais pas seulement, aussi ce qui leur fait du bien, les rend joyeux : leurs bonheurs, et capables eux aussi de les révéler : par leurs sentiments, leurs émotions,…, et aussi par le biais de leur conscience (de leur cerveau, et de leur cœur), de les formuler, et même de, peut-être beaucoup plus tard, arriver à tourner la page… et de se servir de leur savoir, pour ne plus commettre à nouveau leurs erreurs…Et ce sacrilège !: d’oser montrer leurs sentiments, (ce qui est pourtant naturel, non ?), envers qui ces garçons et donc les hommes sont-ils censés le commettre ? Juste envers des personnes qui ne leur font pas confiance pour être capables de prendre eux-mêmes en main leur destinée et être capables d’être heureux en étant eux-mêmes,… et qui voudraient les mettre dans un moule afin de les façonner… selon une image, un stéréotype faux !!!
Car une des idées maîtresses de nos sociétés était dans les générations antérieures, et encore un peu actuellement, est de considérer (à tort bien évidemment) que les hommes doivent être forts, costauds : mais c’est uniquement pour les convaincre, si un jour, hypothétique et donc pas sûr du tout, il y a la guerre,… de ne pas se poser (trop) de questions personnelles, et d’aller combattre les autres hommes…, d’autres hommes qu’ils ne connaissent pas personnellement et par extension qu’ils ne haïssent pas personnellement…mais juste au nom d’une idéologie…
Et donc, de nier que les hommes sont capables de ressentir des émotions et ne pas leur permettre de les exprimer, donc de les montrer, est très grave, car cela les empêche :
- d’être totalement eux-mêmes,
*et donc d’être toujours obligés de se contrôler pour ne pas montrer la moindre parcelle d’humanité,
*et de ne surtout pas, jamais, montrer leur intérieur, ce qu’ils ressentent au plus profond d’eux,…
Finissant, à force :
** par nier, et donc par cacher, même à eux-mêmes, leurs vérités, leur sentiments, .. .Certains pouvant même devenir insensibles, à force de ne plus être eux-mêmes, et par ne plus savoir qui ils sont… et pourquoi ils sont sur cette terre… (et peut-être par en finir avec leur vie) puisqu’ils n’ont pas le droit d’être totalement eux-mêmes !!!Triste, non ???
Alors…Comment lutter contre ce fléau ?
Considérer les garçons avant tout comme des êtres humains à part entière, devant recevoir une part importante (autant que les filles), de câlins, de félicitations, d’amour… afin de :
- avoir confiance en eux, et en leurs capacités innées et acquises,- se savoir important aux yeux des autres,- savoir qui ils sont et ce qu’ils veulent,
- d’être heureux : car pouvant exprimer totalement leur personnalité,
- et d’avoir envie de voir de quoi sera fait demain, et après demain, donc de continuer à avoir envie de vivre leur vie !!!

Thursday, November 10, 2005

Chatouillez-vous la vie si votre coeur vous en dit !

Que diriez-vous de vous chatouiller la vie ? de la trouver moins triste, mais au contraire pleine de charmes, de possibilités, de rires, (tout en n'occultant pas ses tristesses, car cela fait aussi partie de la vie et en faisant son possible pour les traiter assez rapidement)...

Chatouillez-vous la vie si le coeur vous en dit

Prenez par exemple, si vous le voulez,
Un pinceau à poils tout doux
Ou une plume
Ou tout simplement de vos doigts... le bout,
Et, caressez-vous le visage
Vous verrez qu'en quelques instants,
Quelque chose d'étonnant se passera,
Faisant émerger vos émotions
Qui étaient peut-être enfouies
Mais que chacun peut retrouver en soi
Car elles sont là,
A tout moment, à chaque instant,...
Découvrir pour vous et en vous, ce que vous ressentez
Et, apparaîtra... soit :
Un sourire malicieux
Qui éclairera votre visage,
Et pourquoi pas changera votre paysage,
C'est-à-dire ce qui vous entoure, alentour,
Soit cela peut aussi faire sortir de vous, des pleurs :
De douleur, de tristesse, ou de joie !

Et si cela ne change rien en vous, même ponctuellement,
C'est ça qui serait le plus étonnant,
Non ?

Mais c'est vrai que de nombreuses possibilités
Peuvent arriver à notre rencontre
Et nous aider
A évoluer
Ou pas...
Suivant nos choix
Suivant si on leur ouvre ou pas les bras
Si on est prêt ou pas...

Se chatouiller la vie, même un tout petit peu
C'est se donner un moment de vie, de ciel bleu
Voilà ce que je vous propose
Du fond de mon coeur tout rose
Et pas du tout morose...
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Amitiés à tous
Myrabelle

Thursday, November 03, 2005

Avoir une poétique-attitude dans votre entreprise

Les gens dans les entreprises sont souvent stressés, fatigués, surmenés, voire plus... et ne prennent plus de temps pour eux-mêmes, pour vivre... !
Et ils se demandent quelquefois qui ils sont... et pour y répondre, il leur faut enfin prendre un peu, voire beaucoup, de temps !... alors qu'ils pourraient le faire d'autant plus harmonieusement dans d'autres circonstances, avec d'autres possibilités...

Constat... :
Pourquoi ne pas se lever de bon pied
Quand on est heureux et plein d'amitié ?
Les gens croient qu'ils sont plus contents
S'ils se font de la bile tout le temps...
Laissons-leur donc leurs illusions,
Ce qui compte c'est que nous soyons,
Pleins d'élan et d'entrain,
De l'aube au petit matin.
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Les gens vont beaucoup trop vite
Il faut tout faire tout de suite
Et même pour la veille… plutôt que pour le lendemain !

Ils courent, ils foncent,
Et peu à peu ils s’enfoncent
Dans cette sombre routine
Où l’on devine
Une peur de l’avenir,
De ce qui va leur advenir !
Ils ne savent plus apprécier
La moindre perle de rosée,…
L’enfant qui, dans leurs jambes, court
Les fatiguent tellement
Qu’ils préfèrent le coucher
Afin de se retrouver seuls, tristement !

Moi, j’ai besoin
De prendre mon temps,
De vivre chaque instant
A mon allure, tranquillement !

J’espère ainsi vivre à mon rythme jusqu’à mon dernier jour ! ! !
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Par peur d’être grondé, puni, engueulé, blâmé,
Certaines personnes, faisant consciemment ou non,
Une erreur dans une action
Préfèrent ne pas la dire,
Et même la cacher à leur entourage :
Non seulement à leur(s) supérieur(s) hiérarchiques,
Mais également à leurs collègues de même niveau hiérarchique
Et/ou à leurs proches : les membres de leur famille, à des amis,
Juste afin de ne pas se faire taper sur les doigts
Ou à faire face à des sanctions plus graves s’ils ont commis de tragiques exactions
Car ils pensent, hélas souvent avec raison,
Que les autres, ceux qui les jugent, ne vont voir que les imperfections de leur action
Et ne vont pas remarquer, à l’inverse,
Tous leurs efforts effectués avant, pour essayer de réussir à faire quelque chose de bien…

Mais que cet accident ou que cette maladresse a mis à mal
A bouleversé(e).
Et en outre cette punition
Leur rappelle comment leurs parents les réprimandaient
Quand, par mégarde ou non, ils en commettaient
Pour leur faire prendre conscience
A quel point il est important
De dire ce que l’on a fait
Afin, de peut-être un jour pouvoir être pardonné
Et peut-être un jour pouvoir se pardonner !
Et recommencer à vivre, à créer, et même à de nouveau se tromper !
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Pour arriver à des pourquoi pas, des autrement, de nouvelles possibilités :

Une petite fille sage et gentille,
Rêvait d’un pays où le soleil brille,
Où tous les gens sont gentils et charmants,
Et où il fait bon devenir grand.

Elle savait que ce serait difficile à obtenir,
Qu’il lui faudrait pour cela réussir
A traverser bien des épreuves,
Mais dont elle en ressortirait comme "neuve".

C’est pour cela qu’elle réfléchit longtemps, longtemps,
Pour chercher sa voie au-delà des tourments
De la vie actuelle,
Qu’elle voulait rendre belle.
Enfin, après bien des chemins détournés,
Elle rencontra l’étincelle de sa vérité,
Qui lui donna envie de croire en sa destinée,
Et de vivre pleinement, dans une douce félicité.
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Mettez de la poétique-attitude dans votre entreprise
Pour une entreprise en bonne santé
Prenez :
UN patron
Qui ne prend pas la paie de X ouvriers
Mais est payé néanmoins correctement
Prenez des employés
Qui ont débuté,
Peut-être sans qualifications
Mais très motivés pour faire partie de cette entreprise
Qui ne sont pas surchargés de travail,
Car leur patron, intelligent,
A prévu plus de personnel
Afin que la tâche leur soit un peu allégée
Que leur patron remercie :
De l’avoir choisi lui, comme responsable d’entreprise
Pour les diriger eux,
De leur engagement jour après jour afin que le travail soit bien effectué,
Les remerciant de temps en temps
Lorsque cela est possible et que des résultats positifs se font sentir :
Par des primes,
Par des congés,
Par quelques avantages sociaux, etc…
Ce qui leur montrera à quel point
Leur responsable est fier d’eux,
Ce qui les incitera peut-être à se montrer
Très compétents voire plus
A avoir envie que à nouveau leur patron soit fier d’eux,
Et leur donnera des ailes
Pour lui donner satisfaction
En réfléchissant grâce à un temps de pose allongé
A, comment améliorer la production
Et en profiter ensemble :
Les collègues, le patron et lui
Conjointement !
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Qu'en pensez-vous ? si vous pensez tout comme moi que cette idée soit intéressante, faites m'en part... et de l'inverse aussi ! Amitiés à tous Myrabelle

Friday, October 14, 2005

S'épater soi-même, et épater les autres sans s'exhiber, naturellement !

Epater les autres est une bonne chose
Quand, sincèrement,
On a connu une vraie émotion
Et qu’on l’exprime…
Et que notre bonheur de l’intérieur
Transparaît à l’extérieur
Et se voit par lui-même
Sur notre visage, dans nos gestes, …
Et qu’on le fait sans y mettre d’intention particulière,
Sans le faire exprès,
Sans en rajouter pour que les autres le voient,
Ne voient que « ça », que « soi »,

Par exemple, dans le cas contraire,
Vouloir impressionner l’autre car on craint, avec une histoire vraie mais fade
Sans trop de relief, d’envergure, de panache,
D’ennuyer, ou même d’énerver, d’irriter l’autre contre soi,
Peut l'ennuyer, peut-être un peu,
Mais peut-être pas
Car de ne pas tricher
Requiert de sortir de soi…
De dévoiler un pan de sa personnalité,
De son identité,
Cela fait jaillir, de soi, des émotions
Cela montre certes notre fragilité
Car nous ne sommes pas toujours pareils
Fidèles à une image, à un modèle,...

Mais nous changeons, nous évoluons,
Que ce soit à notre insu, ou pas,...
Mais que de cette fragilité, on peut faire une force
Car, en sachant changer, évoluer,
On est capable de s’adapter à d’autres changements,
Et de s’étonner soi-même,
De s’épater soi-même,
D’être par soi épaté !
Epatant, non ?!!!


Vous épatez-vous ? Epatez-vous les autres ? Si oui, comment ? Qu'est-ce qui vous épate, vous étonne, vous met du bonheur dans les yeux, du baume au coeur, vous donne un sourire, vous fait retrouver des émotions d'enfants ?

Myrabelle

Saturday, October 08, 2005

Un problème peut vous donner envie de relancer votre vie !

On peut regarder ses problèmes personnels avec un regard différent :
Au lieu de ne les voir que comme une source de soucis, de conflits :
On peut aussi s’en servir pour recevoir des défis à relever en soi
De l’intérieur de soi
Et pour voir si on est capables de les relever
Et peut-être, un jour, de les surmonter,
Se donnant sa confiance et sa chance
Afin d’avoir une grande envie de réussir
Et faire tous ses efforts….
Et puis, que l’on réussisse ou non :
Se féliciter
De ne pas s’être abandonné,
D’être allé au plus profond de soi
Rechercher l’envie, l’énergie
De se battre contre l’adversité
De ne pas avoir baissé les bras, de ne pas avoir renoncé
Et donc être fier de soi
Quoi qu’il en soit !
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Plutôt que de rester seul, à ruminer
Et/Ou à ne pas vouloir sortir d’un problème
Et/Ou à s’énerver en faisant n’importe quoi
Il vaut mieux essayer de :
Se calmer,
Respirer …
Et réfléchir…
Car un problème, une difficulté
Peut être l’occasion de relancer sa vie
Sur une nouvelle voie
A créer,
Puis à essayer,
Puis à suivre,
Pas à pas,
En se faisant plaisir
En jubilant :
Pas sur le dos des autres, non !
Mais, juste, pour soi, en soi !
Et,… pourquoi pas ?
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Si vous sentez que votre vie ne vous convient pas, ne vous correspond pas totalement, un problème, une difficulté, peut vous donner l'énergie nécessaire pour modifier votre vie, et la faire à votre volonté... selon qui vous êtes !
Si cela vous est arrivé, et que vous ayiez envie de le raconter, libre à vous de le faire ici... Amitiés à tous Myrabelle